Lucile Haute participe à la journée d’étude organisée mercredi 22 mars par l’ESAD-HAR.
https://esadhar.fr/fr/actualitees/save-date-seminaire
Présentation de la journée :
Quand le numérique était multimédia interactif, auteurs, éditeurs et publics réinventaient des rôles hérités du livre, de l’édition musicale ou du cinéma. Quels contenus culturels en seraient exclus ? Tous les sons (musiques et paroles), toutes les images (fixes ou pas) et tous les textes et signes du monde pouvaient, dans les années 1990, y produire de nouveaux agencements programmés. Devenus copiables à l’infini, inaltérables, ces éditions portaient même la promesse naïve de ne plus jamais disparaitre. Et pourtant, les éditions numériques off-line qui ont précédé l’essor des échanges réticulaires sembleraient aujourd’hui évanouies. Quelles mémoires, quelles expériences et réalités actuelles pourraient-elles en rendre compte ? Interrogeons les témoins, artistes ou critiques qui à travers leurs parcours tiennent une part de ces meilleurs souvenirs de CDrom.
Ces rencontres sont proposées dans le cadre de l’exposition Meilleurs Souvenirs de CDRom. Le cycle de conférences dans son ensemble reçoit le soutien de la DRAC Normandie dans le cadre de Rrose Selavy, programme de professionnalisation et d’insertion professionnelle de l’ESADHaR.
Invité.es
Vadim Bernard, Dominique Besson, Dominique Cunin, Lucile Haute, Jean-Noël Lafargue, Etienne Mineur, Gilles Rouffineau
